Que faire avec l’agile ? Que ne pas faire avec l’agile? • Des résultats financiers « Business value » jusqu’à un certain point • Du plaisir au travail o Un meilleur relationnel avec les collègues et le management • Révéler les problèmes et créer de la frustration • 10% des personnes ne supportent pas l’agile • Le client qui dit « Je ne veux plus faire d’agile » (situation inconfortable pour le client) • Meilleurs produits • Créativité • Responsabilisation, accomplissement personnel, confiance • Visibilité pour des décisions rapides • Prise de conscience politique o Parfois dérangeante o Au niveau de l’équipe, du management de la direction et au delà • Obtenir des feedback positif du client • Accomplissement au sens de Spinoza • C’est moi qui choisit comment et quoi améliorer. Je décide d’améliorer la valeur produite, ca devient politique • Créer un partenariat entre le développeur et le client final • Rentrer de plus en plus de personnes dans la sphère d’influence du développeur o Le développeur se connecte de plus en plus loin au-delà de sa sphére immédiate. • Identifier collectivement à quoi nous accordons de la valeur • S’intéresser au lean (ie la valeur produite au-delà du logiciel) • Plus de temps perso • Choisir mes responsabilités • Décider de le faire (le produit) ou pas • Etendre la connexion de l’équipe • Créer une œuvre de l’esprit à plusieurs • Apprendre à travailler en groupe • Les choses que l’on perd : o Moins de chefs (pas adapter à tous les contextes ?) o Moins de travail solitaire • Préparer sa société à la coopération plutôt qu’à la compétition o Trouver des solutions décloisonnantes pour faire survivre l’entreprise (nous n’avons plus le choix) • Changement de métaphore dans notre civilisation o « Machine – mécanisation » vers « organique – coopération »